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MOSLYVE pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
lundi, 22 octobre 2012
 

Slave to modern age
(Mind Riot Music – 2012) 
Durée 31’02 – 10 Titres

http://www.facebook.com/Moslyve
http://www.mindriotmusic.com

Ils ont pris leur temps avant de sortir ce deuxième album tant attendu, et pourtant il était en boite depuis une bonne année … Mais il n’était pas question pour Moslyve de diffuser les fruits de son travail dans de mauvaises conditions et c’est donc pendant qu’il faisait monter le soufflé à grand renfort du maxi « Lucky 13 » dévoilé au printemps dernier puis du single « Sound » parti à l’assaut des playlists que le groupe a fini de mettre la table pour finalement se lancer le 22 octobre prochain avec « Slave To Modern Age ». Pour Séverine Cascarino et Nathalie Serre au chant, Sylvain Cascarino aux guitares, basses et chant et enfin Amaury Fauchille à la batterie, l’essentiel n’est pas tant de connaître un succès immédiat que de réussir à partager avec le public leur musique délicatement teintée des accents nineties mais adaptée au goût du jour, les influences des Oasis, Sonic Youth, Noir Désir, Pixies et autres Blur se bousculant avec une certaine intelligence pour en arriver au bout du compte à une pop subtilement saupoudrée de rock, une musique sans age qui mise beaucoup sur trois voix complémentaires mais qui ne fait jamais abstraction d’un côté swing apporté par une batterie délicatement inspirée et d’un côté noisy venu tout droit de guitares qui refusent catégoriquement d’être sages et de rentrer dans le rang. Emoustillé par des premiers extraits salués de manière unanime par les médias, l’amateur de belles chansons ne tardera plus à se ruer sur ce nouvel album de Moslyve pour y découvrir d’autres singles en puissance comme « Bird », « Tell No One » ou encore « Street ». Ajoutez à toutes ces bonnes ondes une production signée Nicolas Leroux d’Overhead qui a contribué de fort belle manière à la recherche omniprésente de mélodie du quartet et vous aurez rapidement compris qu’il y aura un avant et un après Moslyve ! Les radios aiment, la presse en raffole, le web s’enflamme déjà, le public ne tardera pas à en faire autant …