vendredi, 17 août 2012
FESTIVAL FNAC LIVE 2012
PARVIS DE L'HOTEL DE VILLE DE PARIS (75)
Le 19 juillet 2012
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Remerciements : tous les artistes, Ophélie Surelle, la Fnac, l'Hôtel de Ville de Paris.
Cet été le cœur de Paris vibrait à nouveau aux sons du festival de la Fnac : le Festival Fnac Live. Du 19 au 22 juillet 2012, la Fnac reprenait place sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris pour offrir au public 4 soirées de concerts gratuits. Après le succès de sa première édition et ses 60.000 spectateurs en 2011, le Festival Fnac Live revenait une seconde fois pour célébrer, quatre soirées durant, le meilleur de la musique live et insuffler au public l’envie de découvrir les artistes qu’elle aime et qu’elle accompagne tout au long de l’année.
(Textes : Fnac Live 2012)
Disiz : Son histoire est celle d’un rappeur qui reprend son rôle, change les règles et se fait plaisir. Les identités valsent au rythme de son inspiration : Disiz La peste, puis Disiz Peter Punk, voilà Disiz tout court qui revient à la fois comme écrivain et « proseur », fier de renouer avec l’école du micro qui fait sens. Décomplexé, avec des valeurs à l’ancienne et des flows à la pointe de la modernité.
1995 : année du film « la haine », du meilleur de NTM, Solaar et IAM, avec dans le sillage de ses maîtres rimeurs déjà une relève : les Sages Poètes de la rue ou La Cliqua. Le rap français de 1995 rend hommage à cet âge d’or. En virtuoses. Versatiles, parfaitement en phase avec leur époque, les six Parisiens ont réinventé ce que le rap semblait avoir oublié : la compétition, l'originalité, le freestyle. Mots simples et émotions vraies. Année après année, 1995 s’impose comme une formation intemporelle.
Irma : En août 2008, Irma déjoue tous les pronostics. En deux jours, elle récolte l'argent nécessaire pour concocter son premier album, Letter to the Lord. Plus de 400 internautes-producteurs, qui ont suivi ses prestations sur le Web, décident de soutenir son projet. Pas de doute, Irma fait partie de la génération capable de tout. De faire tomber les œillères, des a priori et d'outrepasser les frontières des catégories. Une personnalité composite, une identité en transit. Multiple mais singulière. A l'image de son songwriting. Ses textes la racontent, sans jamais être autobiographiques : l'amour, ses joies et ses déceptions... soul et folk à la fois.
Charlie Winston court toujours, titre pertinent de son deuxième album « running still ». L’énergie en bandoulière, le sens de la mélodie, la fascination pour les chansons qui avancent toutes seules et qui s’habillent progressivement. C’est la marque Charlie Winston. Celle qui l’a mené vers le plus incroyable des succès et qui continue encore aujourd’hui d’entourer son personnage et sa musique d’une aura toute singulière.
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