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MICKY GREEN à LA CIGALE (75) pdf print E-mail
Ecrit par Agathe Kipienne  
lundi, 26 avril 2010
 

MICKY GREEN
LA CIGALE – PARIS (75)
Le 6 avril 2010

http://www.mickygreen.com/
http://www.myspace.com/mickygreenmusic

Retrouvez les photos d’Agathe Kipienne sur http://www.akphotography.fr/ , http://www.myspace.com/popartfiftos et http://www.flickr.com/photos/a-k-photography/

Remerciements : Sorya Lum "Polydor", Michel, Alain, Eric, Michaela.

Micky (ses parents l’appellent Michaela, de vieilles origines Hollandaises dit l’histoire familiale) est partie de chez elle à 18 ans, jouer les mannequins. Un rêve gamine ? Non : "un métier pratique pour découvrir le monde" dit-elle. Surtout quand on a que ça et la musique en tête. Elle continue de l’exercer, de temps à autre, parce qu’on ne vit pas de ses chansons du jour au lendemain.

La plupart des titres de White T-shirt (2007), Micky les a écrits dans l’avion, dans ses chambres d’hôtel, dans les salles d’attente des aéroports. Dans ces moments où l’esprit vagabonde, comme elle le fait depuis 4 ans maintenant. Elle note tout dans un carnet qui ne la quitte jamais. Certains datent de l'adolescence. Micky a toujours écrit.

Au lycée, elle jouait de la batterie dans un groupe. Le plus masculin des instruments, parce qu’être une fille n’oblige à rien. Et puis elle avait déjà appris à jouer du piano, toute seule… Le chant, c’était aussi une sorte de lien avec son père. Il lui avait transmis le virus de la musique, côté faiseur. Il en jouait, avec ses copains. Et puis un jour, ses parents ont divorcé. Micky est restée avec sa mère, dans une banlieue de Sydney normale, banale, agréable. A la maison, on écoutait Fletwood Mac,Heart, ou du glam rock. Après les cours, elle travaillait, pour l’argent de poche, dans le magasin de disque du centre commercial.

Pour ses maquettes, composées sur un micro de l’ordinateur, Micky a tapoté sur des tables, ses jambes, avec un crayon, une boîte. Des micro rythmes parfaits pour accompagner les détails qui parsèment ses textes. La vie lui apparaît toujours sous cet angle : une façon de tenir une cigarette, une couleur de t-shirt (white donc…), un faux pas, un doute… (Source : Cityvox)