vendredi, 25 décembre 2009
LISA DOBY
LE RESERVOIR – PARIS (75)
Le 1er décembre 2009
http://www.myspace.com/lisadoby
http://www.myspace.com/cogesonbooking
http://www.myspace.com/franckbedez
http://www.myspace.com/yanmusic2
http://www.myspace.com/jrme
http://www.myspace.com/amarsundy
http://www.myspace.com/nonodublues
Remerciements : Le Réservoir, Cogeson, Jaki Koehler, Lisa Doby, Amar Sundy
Dans son écrin de velours, le Réservoir accueillait la belle et talentueuse Lisa Doby. Accompagnée de ses fidèles musiciens, Franck Bedez à la basse, Yan Eichert à la guitare, Jérôme Spieldenner aux fûts, Lisa Doby nous présente là son dernier-né, « Who We Are », plus musclé, plus électrique. D’entrée on voit que Lisa Doby est cette fois ci plus rock’n’roll. Elle se tient devant le public telle une rock star, volontaire et énergique. Les morceaux s’enchainent gardant le public en haleine, agrémentés de quelques petites explications sur le pourquoi de certains titres. Le public évidement est sous le charme, cette artiste outre-Atlantique venue s’installer et faire sa vie dans l’hexagone manie bien notre français, mais c’est dans sa langue natale qu’elle dirigera son show. Elle a pris, c’est incontestable, une autre dimension depuis la première fois où je l’avais vu dans une petite salle parisienne, La Java.
Appréciée de tous par sa gentillesse et son talent, certains aiment à venir partager quelques moments sur scène quand ils sont présents dans la salle. Ce jour là c’était le cas pour Amar Sundy venu voir et écouter la belle Lisa Doby. Un musicien ne se déplaçant jamais seul, Amar était accompagné de sa fidèle Strat pour un moment de complicité le temps d’un morceau. Comme je le disais un peu plus haut, il y a Lisa Doby et ses compagnons de route, ensemble ils forment un groupe uni, lors du rappel, ils viendront s’assoir en bord de scène de manière intimiste pour clore ce chapitre parisien. En attendant avec impatience son prochain passage dans la capitale, on pourra toujours écouter « Who We Are », un très bel opus.
Bruno Migliano – décembre 2009
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