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CARL WEATHERSBY & NORA JEAN BRUSO au JAZZ CLUB ETOILE (75) pdf print E-mail
Ecrit par Bruno Migliano  
jeudi, 17 décembre 2009
 

CARL WEATHERSBY & NORA JEAN BRUSO
JAZZ CLUB ETOILE – PARIS (75)
Le 27 novembre 2009

http://carlweathersby.org
http://www.myspace.com/carlweathersby
http://www.norajeanblues.com
http://www.myspace.com/norajeanblues 
www.myspace.com/nonodublues

Remerciements : Jazz Club Etoile, Carl Weathersby, Nora Jean Bruso

Pendant le festival Blues Sur Seine il y a aussi du Blues ailleurs. Et cela commence par un détour sur la scène du Jazz Club Etoile qui pour cette semaine nous propose un couple bien étonnant, Nora Jean Bruso et Carl Weathersby.


Après une intro par le band emmené par le deuxième guitariste Cory Bran Dennison, Carl Weathersby vient rejoindre la troupe sur scène. Celui qui a été le deuxième couteau d’Albert King annoncera bientôt la plantureuse Nora Jean Bruso. Nora Jean, cette dame qui a vu le jour dans le Delta, est issue d’une famille de blues. Impossible donc de passer au travers, elle sera chanteuse ! Nora Jean à fait ses armes à Chicago. Elle a cette voix rauque qu’avait une Koko Taylor par exemple. Elle n’a pas vraiment besoin de forcer sur sa voix, même si Carl Weathersby pousse le potard à fond, c’est bien elle la patronne sur scène, elle l’arpente de long en large sans jamais perdre le public des yeux.


Partageant cette semaine la scène avec Carl Weathersby, elle lui cédera la place pour la fin du premier set. Aux premières notes on croirait en entendre l’illustre Albert. Quasi même phrasé, pincement de cordes, on ne pourrait s’en plaindre si ce n’était ce problème de son. Dans tous les cas, il y met du cœur et de l’énergie, tout comme son deuxième guitariste qui ne mériterait pas d’être numéro 2 tant ce type à du talent et de la fougue dans les doigts. Assurément il m’a impressionné, même au chant.


Pendant la pause syndicale, les ingés-son tenteront de remédier au problème de son qui n’en était pas un d’ailleurs mais plutôt un problème de volume. Carl Weathersby avait semble-t-il du mal à s’entendre. On a donc juste sur élevé et réorienté l’ampli. Le deuxième et troisième set se succédèrent aux mêmes rythmes et mêmes intensités, n’en déplaise à nos oreilles délicates.
 
Bruno Migliano – novembre 2009