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SOUTH IMPACT pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
vendredi, 22 mai 2009
 

Codex
(Deadlight Entertainment – 2009) 
Durée 32’52 – 9 Titres

http://www.myspace.com/southimpact
http://www.myspace.com/deadlightentertainment

Créée en 1995, South Impact est comme son nom l’indique une formation du Sud de l’hexagone et c’est en se réunissant autour d’influences comme Sick Of It All, Biohazard et autres Wall Of Jericho que Joe au chant, Manu et Mehdi aux guitares, François à la basse et Benz à la batterie nous proposent une musique où le hardcore est roi et où l’Anglais est la langue utilisée pour véhiculer un message plein de fougue et de folie. Une première démo en 2001 et une seconde cinq ans plus tard après une pause réparatrice auront permis au quintet de trouver ses marques et c’est aujourd’hui avec une rondelle posée à un juste milieu entre un gros maxi et un petit album que le combo toulousain nous saute à la gorge, profitant de l’occasion pour s’offrir divers concerts aux quatre coins du pays. La belle affaire !

A force de prestations explosives et de partage avec le public, South Impact est parvenu à trouver sa véritable homogénéité, cette petite touche personnelle qui fait que sa musique sort un tant soit peu des sentiers battus sans pour autant déstabiliser les amateurs d’un hardcore metal new school gras, brutal et puissant. Porté par un hurleur de grands chemins, « Codex » laisse des traces indélébiles dans les esprits et n’en finit plus de mettre des coups de semonce dans les tympans les plus endurcis, South Impact ne manquant pourtant jamais de ménager quelques transitions narratives en Français pour laisser à chacun le soin de se préparer à une suite toujours plus folle et plus dévastatrice. De « Another Turn Of The Crank » à « Worlwide », c’est toute l’énergie et toute l’envie de partager sa propre façon de voir les choses avec le public que le quintet met en avant, en profitant pour nous poser quelques bombes bien destructrices dans le genre de « Don’t Lose Hold », « The Rebirth » ou encore « Switched Off Face » qui n’en finissent plus de vous péter au nez au fur et à mesure que l’opus accumule les rotations dans la platine. Nul doute que même les plus avertis finiront sur le cul à la découverte de cet ouvrage qui ne manque pas de piment et qui est bien décidé à le prouver ! A bon entendeur …