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BAD CHICKENS / DIRTY FONZY pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
mercredi, 25 février 2009
 

Bad Chickens / Dirty Fonzy
(Dirty Witch – 2009) 
Durée 16’45 – 8 Titres

http://www.badchickens.net
http://www.myspace.com/badchickensinc
http://www.dirtyfonzy.com
http://www.myspace.com/dirtyfonzy

Mon premier vient de Valence, mon second d’Albi, et mon tout se retrouve sur un seul et même split porté aux yeux et aux oreilles du public par l’intermédiaire de Dirty Witch, le label des Sons Of Buddha et autres ISP … A ma gauche, les monstrueux Bad Chickens avec Damien, Pattie, Fabie, Julie et Ulrich, à ma droite les non moins explosifs Dirty Fonzy avec Angelo Papas, Johnny Guitar, Dirty Gillous, Midier Panos et Crusty Camille qui vont s’efforcer à tour de rôle de nous présenter chacun quatre titres à savoir trois compositions originales et une reprise de Screeching Weasel. Une grosse bouffée de punk rock comme on l’aime donc avec tout ce qu’il faut à l’intérieur pour que l’on s’éclate ! Attachez fermement vos ceintures, ce split est aussi intense qu’il est bref et pour se prendre huit titres en à peine plus d’un quart d’heure, il faut sacrément être bien préparé … Are you ready to rock ?

C’est Dirty Fonzy qui se charge de faire chauffer les amplis et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la chaleur s’installe dans une rondelle qui va très rapidement devenir rouge feu tellement elle est épicée. Un premier grand coup de « Keep Your Shit » et un deuxième de « White Line » nous entraînent à tombeaux ouverts vers la figure imposée qu’est « Hey Suburbia » avant que les Albigeois ne se fendent d’un « Bad Chickens » dopé aux amphétamines qui non seulement dépote à n’en plus finir mais qui en prime invite le combo rhodanien à venir prendre place dans les starting blocks ! Pas nés de la dernière pluie, ces vilains poulets élevés en batterie de Bad Chickens vont se charger de donner le change à leurs crasseux prédécesseurs avec au moins autant de maestria et c’est avec « Drinking Problem » et « She Was My Girlfriend » qu’ils plantent leurs premières banderilles, payant ensuite leur tribut au combo chicagoan avec un énorme « Slogans » et scellant définitivement le sort de ce split fort virulent avec « All The Things I’ve Ever Done », la dernière cartouche de ce fabuleux colt à huit coups ! Tiré à cinq centaines d’exemplaires pour sa première édition collector, l’ouvrage est servi dans un élégant fourreau cartonné et s’accompagne de deux bonnes grosses vidéos exclusives … On a beau être punk, on n’en est pas moins humain !