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BONEY FIELDS au JAZZ CLUB LIONEL HAMPTON (75) pdf print E-mail
Ecrit par Bruno Migliano  
mercredi, 24 septembre 2008
 

BONEY FIELDS & THE BONE'S PROJECT
JAZZ CLUB LIONEL HAMPTON - PARIS (75)
Les 17 & 18 septembre 2008
 
http://www.boneyfields.com
http://www.myspace.com/boneyfieldsthebone39sproject

Retrouvez toutes les photos de Yann Charles sur http://www.myspace.com/isayann  
Retrouvez toutes les photos de Bruno Migliano sur
http://www.myspace.com/nonodublues

Que dire de Boney Fields et de son band ? Que c’est très certainement le band le plus festif qu’il y ait ! Un brin cabotin Boney, le sens du spectacle. Trompette à la main ou en bouche il harangue la foule et le voir se démener sur la scène vous donne obligatoirement envie de bouger et de danser. Pas de frontières musicales, du funk, de la soul, jazz, blues, rock’n’roll, le répertoire de Boney est vaste. On connaît aussi Boney pour le sens du partage, sur sa scène il n’est pas rare de voir un cortège d’invités, je devrai plutôt dire d’amis. A commencer par Olivier Bridot, trompettiste de son état, qui évolue au sein de la formation Natural Blues. Cette même formation dont on avait pu apprécier la performance au Triton durant le festival Blues des Lilas. Abraham Cohen des même Natural Blues viendra rejoindre son ami pour accompagner Boney. Il y aussi des amis sur lesquels on peut compter. Des échanges qui se font régulièrement, quand l’un fait une scène, l’autre il va de soit, viendra l’y rejoindre. On ne se pose pas de question. Luky est là, il attend. J’allais dire bien sagement, non Nono, quand on s’appelle Luky Peterson on met déjà l’ambiance dans la fosse. Une fois aux côtés de son ami Boney les deux compères mènent la danse. Luky a rejoint les claviers. Sur scène c’est chaud, on s’amuse. Nadège Dumas et Pierre Chabrele, la section de cuivre, accompagnés d’Olivier Bridot assurent un max, ça swingue terrible. Un temps, on aurait pu voir Philippe Devin à la guitare, mais là encore Luky s’en excuse, j’avais pas compris, bon grave, il nous sort un truc à lui qui nous fait bien marrer avec ses lunettes de traviole sur le nez, d’autant que des gestuels qu’on ne peut expliquer là se font entre lui et Boney, mais ça fait partie de la chanson, on va dire cela comme ça. Bref, l’heure a tourné, il est temps de fermer. Le Jazz Club Lionel Hampton  se vide peu à peu. Peu c’est déjà peu, bah oui il n’y avait foule, faut dire que nous étions mercredi. Mais aux dires de mon ami Yann Charles, le jeudi c’était bondé. Et notre ami Boney a mené le spectacle comme il sait le faire, que ce soit devant une petite ou grande audience, Boney reste le même, il aime jouer, il joue.