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GOODBYE DIANA pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
samedi, 25 mars 2006
 

Mobilhome
(Head Records – Basement Apes Industries – Overcome Distribution – 2006) 
Durée 22’59 – 6 Titres

http://gbd.head-records.com
www.myspace.com/goodbyediana 

Découvert il y a un an avec un premier maxi trois titres particulièrement prometteur, Goodbye Diana a fait le pari de ne pas décevoir ses fans en revenant avec un premier véritable effort un peu bref mais très bien rempli. L’occasion rêvée pour Mathieu Croux, Laurent Fetter, Fredy Perez et Yann Couderc de mettre la barre un cran au-dessus et de passer à la recherche d’un public qui se fait toujours plus important à chacune de leurs trop rares apparitions sur scène. Enregistrés par Gines Jimenez à l’automne 2005 et mixés par Plume, trois nouveaux titres viennent rejoindre une nouvelle mouture des trois précédents pour donner un ouvrage somme tout plutôt accrocheur et convaincant. Découverte …

Goodbye Diana a trouvé la solution à tous ses problèmes de placement et si l’on reprochait il y a quelques mois une trop grande mise en avant de la rythmique au détriment des guitares, on ne peut plus aujourd’hui reprocher quoi que ce soit à une formation qui semble en passe de réaliser le parfait équilibre musical. Incorporant de façon très épisodique quelques bribes vocales à leur post rock instrumental déstructuré, les quatre Monpelliérains ont gagné en chaleur et en vigueur et nous proposent désormais une musique aux charmes décuplés par tant d’ingéniosité. Déjà accros aux « Jason Newsted Happy Face », « Monkey Donkey » et autres « Apiplan », on succombe désormais également sans aucune retenue aux « Cadaveric », « Carmilla » ou « **** On First Date » qui ne manquent pas de mettre en avant le fort potentiel de composition du quartet. Particulièrement à son avantage sur la totalité de la rondelle, la basse se voudrait une des composantes essentielles du succès de Goodbye Diana mais compte tenu des prouesses des guitares et du jeu précis de la batterie, c’est surtout la joie d’être face à un ensemble soudé qui ressort de cet excellent ouvrage. Le plus dur est fait et il ne reste plus à présent qu’à conquérir le monde !