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KIM FIELD AND THE PERFECT GENTLEMEN pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
lundi, 26 mai 2025
 

Don’t need but one
(Frank Roszak Promotions – 2025)
Durée 45’18 – 11 Titres

https://www.kimfield.com 

Ils sont installés à Portland, Oregon, et peuvent se vanter d’avoir joué tout autour du monde avec les plus grands musiciens de blues, les Muddy Waters, Stevie Ray Vaughan, Robert Cray, James Cotton, Albert Collins, The Fabulous Thunderbirds et nombre d’autres encore, mais c’est autour du chanteur et harmoniciste Kim Field que Vyasa Dodson et Whit Draper aux guitares, Denny Bixby à la basse et aux claviers et Jimi Bott à la batterie sont devenus les Perfect Gentlemen, un groupe qui excelle dans le blues à l’ancienne et dans le rhythm’n’blues. Proposant cette année leur premier effort commun, Kim Field And The Perfect Gentlemen ont mis en boite pas moins de onze morceaux, dont dix originaux, et ont pris un soin tout particulier pour assurer la diversité des trois quarts d’heure de musique qu’ils nous proposent en y insufflant une bonne part de blues roots, mais aussi des colorations venues du jazz, du R&B et bien entendu de la soul, avec à la clef quelques ballades particulièrement bien pensées et un sens du groove particulièrement intéressant. Une section de cuivres ou encore un orgue s’invitent à l’occasion et continuent de porter encore un peu plus haut des compositions pleines de classe comme « Please Don't Ask Me », « Black Diamonds », « Dress The Monkey », « All These Little Things », « Emergency » ou encore « So Dark In Here », mais aussi comme l’excellent tittle track, « Don’t Need But One », ou encore comme la relecture de « The Man That Got Away », un titre de Harold Arlen interprété par Judy Garland dans le film « Une étoile est née » paru en 1954. Le ton est franc, sincère, et c’est en parfaite harmonie que le groupe nous sort l’album qui colle parfaitement à ce que l’on pouvait attendre d’un tel line up. Déjà dans les bacs !