Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

CHARDEAU pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
vendredi, 04 août 2023
 

Ombres et lumières
(Autoproduction – 2023)
Durée 71’59 – 14 Titres

https://www.chardeau-officiel.com 

Issu d’une lignée d’artistes avec son arrière-grand-père Martial Caillebotte qui était musicien et son arrière-grand-oncle Gustave Caillebotte, célèbre peintre impressionniste, Jean-Jacques Chardeau se présente comme le Magical Musical Man et accentue encore plus son originalité en évoluant dans un registre éminemment vaste où le rock, le prog, le jazz, le baroque ou encore la pop et la musique classique se rejoignent et se télescopent pour donner naissance à quelque chose d’aussi improbable qu’unique. Avec des influences aussi vastes et trois décennies de délires créatifs qui font penser pêle mêle à Zappa ou encore à Magma, Chardeau s’est construit des amitiés et des complicités qui ont réussi à pousser des invités prestigieux à participer à ce second volet d’un tour du monde onirique et musical entamé avec « In Terra Cognita ? » en 2019. Pour cette suite donc, l’artiste a réuni à ses côtés une liste d’invités longue comme le bras avec Danny Seraphine et Jason Scheff de Chicago, Marc Andes de Spirit, John McFee des Doobie Brothers, John Helliwell de Supertramp, Jerry Goodman de Mahavishnu, John Jorgenson des Hellecasters, Pat Mastelotto de King Crimson, Eric Troyer d’Electric Light Orchestra, Dave Gregory d’XTC et, last but not least, Francis, Christian et Tristan Décamps d’Ange, de quoi aller une fois encore très loin sur l’échelle de l’imagination et adresser de belle manière « un message aux Terriens et à leur monde en plein chaos ». On se promène ainsi à bord du vaisseau spatial Chardeau à la découverte de « Doniban Lohitzun », « Scandinavia », « Belux Concerto », « Cliché Suisse », « Reconquista » ou « Edossa Fakelaki » et on se régale d’un voyage de plus de soixante-dix minutes dans une galaxie pas si imaginaire que ça avec comme finalité ultime de plonger pleinement dans ces « Ombres et lumières ». Esprits trop cartésiens, s’abstenir !