Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

VANILLA BLUE pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
mardi, 07 février 2023
 

Sweetheart
(Twenty Something – 2023)
Durée 39’01 – 14 Titres

https://www.facebook.com/profile.php?id=100070281392590

Cette formation stéphanoise n’aura pas attendu bien longtemps avant de confirmer la bonne tenue de son premier album, « Dark Cities », puisqu’après un an à peine, revoilà déjà Vanilla Blue dans les bacs avec « Sweetheart », une rondelle qui s’impose plus comme un prolongement que comme une suite à proprement parler. Entre temps, le groupe aura pris sous son aile une nouveau batteur, Franck, ce qui lui aura permis d’étoffer ses guitares en permettant à Junior de remiser les baguettes et de venir s’installer en doublon d’Olivier, Max et Dan conservant respectivement la basse et le chant au sein d’un quintet qui a fait de la scène son véritable terrain de prédilection. Résolument rock jusqu’au bout des doigts, Vanilla Blue s’efforce de conjuguer avec passion son versant le plus britannique et insuffle à ses compositions des colorations directement revenues de déferlantes dans lesquelles le punk est la meilleure réponse que l’on puisse apporter à l’emo-pop ou même à une coloration qui peut à la demande glisser délibérément vers le pop-rock. On citera en vrac des influences plus ou moins évidentes comme MC4, le Placebo des premiers ébats ou encore Funeral For A Friend et autres Hell Is For Heroes, autant de bonnes choses qui se dégagent naturellement d’une volée de quatorze titres bien dense et bien servie dans laquelle on prendra avec autant de plaisir le côté mélodique que le côté dynamique des morceaux, des titres comme « Pagan Crap », « Out Of Time », « You Got To Live », « An Empty Seat » ou « Darker Than Blue » qui ne manquent jamais de toucher l’auditeur en plein dans le mille. On n’oubliera pas de citer également « Panic » sur lequel on remarque le featuring de Jerry A du groupe punk hardcore de Portland Poison Idea et on saluera la clairvoyance s’un groupe qui a trouvé la formule parfaite pour fidéliser son public en lui offrant non seulement une musique de qualité mais aussi des livraisons discographiques régulières. On aime !