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KARL STOLL & THE DANGER ZONE pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
mercredi, 23 février 2022
 

The workhouse
(Autoproduction – 2022)  
Durée 52’34 – 11 Titres

https://karlstoll.com/
http://www.thedangerzone.us
 
Ils promènent leurs amplis dans le District Of Columbia depuis plus d’une décennie et se sont vus nominés en 2012 pour le meilleur album de blues par la Washington Area Music Association avec leur premier effort, « Take A Ride », un opus qui a permis à Karl Stoll & The Danger Zone de partager la scène avec des artistes comme Tom Principato, Mark Hummel, Charlie Baty, Roomful Of Blues ou encore Anson Funderburgh dans les clubs et dans les festivals. Dix ans plus tard, c’est en compagnie de divers invités que Karl Stoll au chant et aux guitares, John Dickson aux harmonicas, Dean Dalton à la basse et Brian Alpert à la batterie signent leur grand retour avec « The Workhouse », un véritable album de blues qui va nous transporter du côté des clubs de Crescent City mais aussi vers ceux de Chicago, de Detroit, de Memphis, de Nashville et d’ailleurs. Dix compositions et une relecture du « Great Rain » de John Prine pour faire la mesure sont autant d’occasions pour le quartet de se laisser rejoindre par des gens comme le bassiste Steve Wolf, les claviéristes Tommy Lepson et Shep Williams, le pianiste David Torkanowski, le slideur Paul Bell, les percussionnistes Josh Howell et Jordan Stoll mais aussi moults cuivres et chœurs qui agrémentent de fort belle façon des titres qui groovent, qui swinguent ou qui jazzent. On répond directement présent à l’appel de « Meet Me In New Orleans » qui fleure bon les fumets de Frenchmen Street et on accompagne sans aucune arrière-pensée Karl Stoll & The Danger Zone dans un ouvrage so soulful où l’on remarque des pièces originales comme « He Was My Dad », « Why Does It Feel So Good? », « Love Is A Two Way Street » ou encore « Bad Girl » et « Fantasy Girl », des morceaux qui nous transportent jusque dans les hautes sphères d’une musique chaude, variée et colorée. En une grosse cinquantaine de minutes, Stoll et consorts nous offrent un concentré de bon blues dont le tittle track, « The Workhouse », fait référence à la prison de Lorton construite en 1910 en Virginie pour le District Of Columbia, établissement qui a accueilli entre autres Chuck Brown dans les années 50 … Disponible dès mi-février !