Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

MARIE MARTENS & THE MESSAROUNDS pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
dimanche, 01 mars 2020
 

Travelled
(Autoproduction – 2019)  
Durée 52’35 – 13 Titres

http://www.mariemartens.com

Elle est née et a grandi en Suède et a eu une belle carrière au sein de divers groupes de différents styles qui lui auront permis de se produire dans toute l’Europe et même en Asie, que ce soit à la guitare ou encore à la basse. Installée depuis une quinzaine d’années entre Chicago et Milwaukee, Marie Martens a pris le temps de former son propre groupe, The Messarounds, mais aussi de continuer à accompagner d’autres artistes de Chicago, donnant ainsi plus d’une centaine de concerts chaque année et se faisant une belle réputation sur les scènes blues et rock du pays. Accompagnée de Ronnie "TwoTimes" Cacioppo aux percussions, Jimmy B Natural à la basse et Tom Selear à la batterie, la chanteuse et guitariste, grande adepte de la slide, livrait en 2019 le premier album de Marie Martens & The Messarounds, un effort dans lequel elle dévoile pas moins de quatre compositions personnelles mais où elle revisite aussi très copieusement et à sa manière quelques morceaux de ses modèles, et non des moindres. Quelque part entre les premiers efforts de Led Zeppelin et les Black Keys avec en prime des relents qui nous ramènent directement vers les origines du blues urbain et du rock’n’roll, « Travelled » va nous faire découvrir tout le talent d’une artiste qui reprend à sa manière des titres qui vont d’Otis Rush jusqu’aux Rolling Stones en passant par Mississippi Fred McDowell, Mose Alison, B.B. King ou encore Jimi Hendrix, et on en passe. On s’attardera sur des originaux comme « Change My Ways » ou « Movin’ On » mais aussi sur des classiques comme « Keep On Loving Me », « Kokomo Blues », « Parchman Farm », « Room Full Of Mirrors » ou encore « Ventilator Blues » revus et corrigés à la sauce Marie Martens & The Messarounds, avec leur lot de slide, de saturations et de wah-wah. Un album sale comme le blues et lourd comme le rock à consommer sans la moindre modération !