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ARGENT ARDENT pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
samedi, 16 novembre 2019
 

Séisme mental
(Milano Records – 2019)  
Durée 27’54 – 12 Titres  

http://www.milano-records.com/
 
Quand quelque chose de plus fort que tout vous pousse à jouer du punk rock à l’ancienne, à la manière des Ramones, il est carrément impossible d’essayer d’y résister … C’est un peu ce qui s’est passé avec Vince Vincent au chant, Grégoire Garrigues à la guitare, Sarah Gadrey à la basse et Pierre Zambiasi à la batterie qui ont bien été forcés de brancher leurs instruments sans pour autant imaginer un seul instant que tout ça se terminerait par l’enregistrement d’un album. Et puis de fil en aiguille, les compositions commenceront à s’accumuler dans le cahier à spirale des quatre complices qui opteront pour le nom d’Argent Ardent, va savoir pourquoi, et qui à la fin d’une soirée de juillet 2019 se retrouveront avec douze titres enregistrés à la one again, mais tout compte fait pas si mal que ça et surtout de façon très spontanée. Quelques overdubs pour se la jouer pro et même des chœurs pour faire les stars et voilà que ce « Séisme mental » se retrouvera bientôt prêt pour la grande aventure de l’écoute par le public … Toujours plus vite, toujours plus fort, Argent Ardent a bien choisi sa devise et va la respecter à la lettre en nous envoyant une douzaine de brûlots punks de la plus pure espèce, des bombes atomiques que n’auraient pas reniées leurs ainés et modèles, et en particulier ces fameux Ramones qui sont quand même un peu responsables de la naissance de ce projet. En moins d’une trentaine de minutes, le quartet va nous en mettre douze dans le coffre avec des hymnes comme « Mettez la pression », « Princesse de nulle part », « Je suis le roi », « Je ne suis pas ton chien », « Le mauvais fils », « Fils de B. » et autres « Toujours plus », de quoi réveiller le punk qui sommeille en chacun de nous voire même pourquoi pas susciter d’autres résurrections dans le même genre … En attendant, voilà de quoi se farter les tympans avec du bon punk rock old school comme on l’aime et se prendre une grosse baffe avec un groupe comme on n’en fait plus, ou du moins plus beaucoup. Hey, ho, let’s go !