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POP EVIL au TRABENDO (75)
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Ecrit par Yann Charles |
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mercredi, 27 février 2019
SWEET
NEEDLES – THE FALLEN STATE – POP EVIL
LE TRABENDO –
PARIS (75)
Le 20 février
2019
https://www.facebook.com/SweetNeedles/
https://www.facebook.com/thefallenstate/
https://popevil.com/
Retrouvez toutes les
photos de Yann Charles sur https://www.flickr.com/photos/isayann/albums
Remerciements : Olivier (Replica Promotion), GDP, Le Trabendo.
Une bien belle soirée rock en ce mercredi 20
février au Trabendo à Paris, avec le retour en
France de Pop Evil. Après pas mal de rendez-vous
manqués, Leigh Kakaty l'avait promis aux fans, les
voilà de retour en France. Et ils ne sont pas venus seuls
car ils ont avec eux, pour ouvrir durant leur tournée, le
groupe The Fallen State, et pour cette date en France, le vainqueur
d'un concours organisé par Rock Hard, GDP, OUI FM, Radio
Metal, My Rock, Guitar Part et Deezer : Sweet Needles. Ce sont ces
derniers qui allaient ouvrir les hostilités … Et
de fort belle manière !
Un set court certes, une trentaine de minutes, mais suffisant pour
démontrer tout leur talent. Un mélange de rock
stoner, metal noise, bref du lourd qui envoie et des têtes
qui bougent. C'est bien fait, ça vous accroche bien, et il
faut bien l'avouer, pas mal, mais alors pas mal du tout. Un combo
parisien que l'on retrouvera bien vite sur des scènes et sur
des festivals, ça c'est sûr !
Vint ensuite The Fallen State. Ces Anglais arrivent sur les planches
avec un style plus axé sur le hard rock pur et dur. Eux
aussi, c'est un maximum d'efficacité avec du gros son, une
base basse batterie impeccable, avec une seconde guitare et une lead
guitar qui envoient le bois. Et devant, un frontman en la personne de
Ben Stenning.
Une belle gueule et une belle voix qui a fait bien bouger un Trabendo
loin d'être plein, mais avec une superbe ambiance et un
public hyper réactif qui est venu là pour se
faire plaisir. On retrouve dans leur compos pas mal de groupes de leurs
références comme Alter Bridge ou Papa Roach, mais
c'est quand même dans un hard rock bien puissant qu'ils
continueront le travail de chauffe pour Pop Evil.
21 heures 30 pétantes, voilà enfin le groupe qui
arrive sur scène. Je dis enfin non pas qu'ils
étaient en retard, mais surtout pour les fans qui les
retrouvaient après, comme je le disais plus haut, quelques
rendez-vous manqués comme le Download l'an dernier
où c'est quasiment en dernière minute qu'ils
avaient été contraints d'annuler leur venue. Mais
cette fois ils sont bien là, et même si Leigh
Kakaty a un petit soucis de voix, il va, ils vont quand même
se donner un maximum pour le plus grand plaisir d'un public
excité comme pas permis. D'ailleurs tous les titres seront
repris en chœur par les spectateurs.
Pas de barrière, un contact direct avec les fans, une
communion quasi parfaite entre un groupe et ses fans. Il faut dire que
cela faisait quatre ans qu'ils n'avaient plus joué
à Paris. C'était à La Maroquinerie.
Valeur montante de la scène rock US, Pop Evil va une
nouvelle fois démontrer que son succès n'est pas
vain, avec leurs compos à l'énergie positive. Une
énergie qui vous transporte entre pop rock et heavy
puissant. Le charisme de son chanteur, la classe et
l'élégance de sa drummeuse Hayley Cramer,
l'énergie et l'efficacité de ses deux guitaristes
Davey Garhs et Nick Fuelling et de Matt DiRito à la basse,
font que l'on ne s'ennuie jamais lors de leur concert. Et cela a
été le cas une nouvelle fois ce soir à
Paris. Il ne reste plus qu'à espérer, pour les
fans, qu'ils n'aient pas à attendre encore quatre
années de plus pour les revoir sur une scène.
Yann Charles –
février 2019
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