Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil arrow BLACK MOTH

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

BLACK MOTH pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
samedi, 13 janvier 2018
 

Anatomical Venus     
(Candlelight – Spinefarm Records – 2017)  
Durée 45’49 – 10 Titres

https://www.facebook.com/themothpit
 
Le groupe est Anglais et a vu le jour à Leeds en 2010 sous la forme d’un quartet avant de devenir un quintet qui évolue aujourd’hui dans le rock aux forts accents stoner, mais pas seulement puisque Black Moth cite régulièrement au rang de ses influences des formations comme Black Sabbath, The Stooges, Mastodon, Red Fang ou encore Nick Cave And The Bad Seeds, Quelques singles mais aussi et surtout deux véritables albums permettront à Harriet Hyde au chant, Jim Swainston et Federica Gialanze aux guitares, Dave Vachon à la basse et Dom McCready à la batterie de se retrouver sur de belles dates comme Reading ou le Download mais aussi de faire une tournée européenne et de se construire une fanbase solide qui aujourd’hui suit le groupe assidument. Après avoir confié la production de leurs premiers albums à Jim Sclavunos, c’est cette fois à Andy Hawkins (Hawk Eyes, Maximo Park) que les Anglais ont confié les manettes pour leur troisième opus avant d’en confier le mixage à Russ Russell (Napalm Death, Dimmu Borgir) et c’est un véritable de concentré de rock, de hard, de stoner et de metal qui s’en échappe au bout du compte, avec parfois quelques petits relents grunge voire punks qui ne nuisent en rien à la solidité et à la stabilité de l’ouvrage. Des guitares fulgurantes, une voix qui transperce l’auditeur et une rythmique quasiment indestructible, c’est en se donnant les moyens de proposer un très bon album que Black Moth a mis en boite des bombes à retardement comme « Moonbow », son premier single, mais aussi comme « Buried Hoards », « Screen Queen », « Tourmaline » ou encore « Pig Man ». Vous y ajoutez un artwork choc et voilà une rondelle qui n’a pas fini de faire parler d’elle dans les tanières de nos amis métalleux !