Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

DÄTCHA MANDALA pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
mercredi, 22 novembre 2017
 

Rokh     
(MRS Red Sound – L’Autre Distribution – 2017)  
Durée 42’01 – 8 Titres

http://www.datchamandala.net  
 
Ils ont déjà donné près de cinq centaines de concerts dans toute l’Europe et ont ouvert pour des artistes comme Shaka Ponk, Hayseed Dixie ou encore The Inspector Cluzo avant de se retrouver sur la scène du Stade de France en première partie des Insus qui avaient littéralement craqué en les voyant lors de leur passage à La Nuit de l’Erdre … Malgré un seul EP en poche, Dätcha Mandala a donc déjà bien bourlingué sur la scène rock internationale et en particulier sur la scène britannique et c’est aujourd’hui forts d’un premier véritable album que les Bordelais reviennent en grande pompe avec dans leur besace pas moins de huit titres enregistrés en analogique par un certain Clive Martin que le public a déjà croisé sur les albums de Queen, Skunk Anansie et autres The Cure ou Midnight Oil. Au programme de cette quarantaine de minutes de musique, des compositions qui flirtent ouvertement avec le rock psyché des 70’s mais aussi avec un heavy blues pas piqué des vers qui installe le trio dans une position assez insolite mais particulièrement propice à la mise en avant de ses capacités techniques et artistiques mais aussi d’une folle énergie que l’on entrevoit à chaque break, à chaque effet de manche voire même à chaque silence. Quelque part entre The Jon Spencer Blues Explosion, Led Zeppelin, Magma et Devin Townsend, Dätcha Mandala a toute latitude pour nous dévoiler des créations formidablement ouvertes sur le monde en général et sur un « Rokh » au sens le plus large du terme puisque l’on y découvre des choses ahurissantes de diversité comme les excellents « Have You Seen The Light ? », « Da Blues », « Anâhata » ou encore « Smiling Man » mais aussi l’incroyable « Loot » qui durant une douzaine de minutes nous soufflera le chaud et le froid mais aussi l’électrique et l’acoustique. Oubliez tout ce que vous connaissiez du rock … et mettez-vous au « Rokh ». Grosse sensation garantie !