JABUL GORBA à MANTES LA JOLIE (78)
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Ecrit par Olivier Urbanet |
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jeudi, 11 mai 2017
LA
PIRE HOUR – JABUL GORBA
CAC GEORGES BRASSENS
– MANTES LA JOLIE (78)
Le 11 mars 2017
http://www.cacgeorgesbrassens.com/
http://www.jabulgorba.com/
https://gabba-disques.com/
Merci à toute l’équipe du CAC et Marina
S’il y a bien une soirée que je ne pouvais et ne
devais pas rater, c’est bien celle-là ! Pour cette
soirée anniversaire des 20 ans de Jabul Gorba, la famille,
les amis, les voisins, les chiens, les chats et même des
Bretons sont là. La soirée se passe à
la maison, au CAC Georges Brassens de Mantes la Jolie où ils
répètent. Tout le monde est là donc,
musicien ou pas, pour assister à cette grosse fête
qui se finira très tard le lendemain !
L’histoire commence comme dans un pub par La Pire Hour (happy
hour ?) avec Eric à la basse , JYP et PA à la
guitare, Pierus à la batterie et Poulos au chant, qui finira
encore une fois avec le tee-shirt en lambeau arraché par ses
groupies façon superstar, normal ! La Pire Hour,
c’est du punk rock des familles, fait dans le quartier et qui
déboite. Faut pas croire mais il y a comme un nid de punk
dans le ghetto. Qui ne connait pas les 45 Secondes, les Crocodeal, les
100 Raisons … Bref, idéal pour un petit massage
gratos.
Quelques bières plus tard, Jabul se met en place et le dawa
peut commencer, et tout le monde passera à
l’échafaud. Jabul Gorba est une plaque tournante
de musiciens qui s’inspirent des musiques de
l’Europe de l’Est, du ska, du punk rock, ce qui
donne ce cocktail explosif de tzigano ska punk. Charlou, revenu de son
expérience sur l’île de la
Réunion, sera bien sûr de la partie.
Tout le monde saute sur tout le monde (moi compris
d’ailleurs), je reçois des bières et
des gens dans le dos, mais c’est pas grave, ça
pousse pas mal, je pousse aussi, pas facile de tenir en
première ligne mais j’aime bien quand
même, c’est un peu n’imp. Mais on croise
plein de monde venu remplir le CAC pour faire la fête et
c’est un vrai plaisir.
C’est un peu dingue c’est vrai, mais vivre le
concert, il n’y a rien de tel. Merci les Jabul pour ces bons
moments et les quelques fêtes improbables passées
ensemble.
Olivier Urbanet
– mai 2017
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