|
|
|
|
|
LES DEFERLANTES à ARGELES SUR MER (66)
|
|
|
|
|
Ecrit par Sylvie Bosc |
|
|
samedi, 03 septembre 2016
LES
DEFERLANTES 2016
RUBY CUBE –
DANCERS IN RED – SELAH SUE – NAIVE NEW BEATERS
– MINUIT – VINTAGE TROUBLE – SYNAPSON
PARC VALMY –
ARGELES-SUR-MER (66)
Le 10 juillet 2016
https://www.festival-lesdeferlantes.com/fr
https://www.facebook.com/rubycubemusic/?fref=ts
https://www.facebook.com/dancersinred/
http://www.selahsue.com/
http://naivenewbeaters.artiste.universalmusic.fr/
http://www.minuitmusic.com/
http://vintagetrouble.com/
http://www.synapson.fr/
Retrouvez toutes les
photos de Sylvie Bosc sur : http://sylbmonoeil.com/portfolio/culture-et-spectacle
Remerciements : Géraldine et Thierry
.
Ruby Cube :
Amis d’enfance, frères ou rencontrés
sur les bancs du collège, Ruby Cube c’est 5
garçons qui délivrent un rock
énergique aux influences pop et électroniques. (Source :
www.festival-lesdeferlantes.com)
Dancers in Red
: Un son résolument moderne, mâtiné de
vintage. L’énergie du rock anglais
s’ajoute à un chant racé et
passionné. Les Dancers sont là pour rallumer la
flamme rock du XXIème siècle ! (Source :
www.festival-lesdeferlantes.com)
Selah Sue :
Une voix chaude, puissante, envoûtante, ensorcelante, qui
semble trop fragile pour exister vraiment et, l’instant
d’après, s’envole pour tutoyer les
sommets du groove. Une voix comme sortie d’un autre continent
qui nous entraîne entre soul et reggae, dans une
contrée sauvage où les sonorités nous
transpercent de mille éclairs éblouissants. Cette
voix, Selah Sue nous l’a faite découvrir en 2012
au détour d’un «Raggamuffin»,
premier et magistral essai, étourdissante virée
au pays des rythmes intenses et des sonorités libres. Une
potion magique qui a propulsé sa silhouette fragile sur le
devant de la scène, l’amenant à se
produire entre autres avec Prince, et nous a convaincus, si besoin
était, que l’on pouvait fort bien mêler
chaleur soul et rage hip hop, poésie ragga et
énergie funk. (Source
: www.festival-lesdeferlantes.com)
Naive New Beaters
: Une douce folie, un tendre étourdissement, comme une envie
de se lâcher et suivre “l’onda“
vibrante et loufoque qui nous est proposée, de passer du
côté obscur de la farce histoire de voir si la pop
peut ou non se conjuguer à la folie, Naive New Beaters
depuis dix ans ne cesse de nous emmener vers des contrées
étranges, des recoins musicaux où la
liberté semble primer sur tout, où les styles
importent peu face au délire organisé de ce trio
ô combien barré. Il faut dire que le trio
franco-west coast n’aime rien tant que brouiller les pistes,
se jouer des convenances et autres stéréotypes,
pour le plaisir de mélanger des sonorités
antagonistes afin de créer un courant qui ne ressemble
qu’à eux.
(Source : www.festival-lesdeferlantes.com)
Minuit :
Minuit, l’heure parfaite, celle où tout devient
possible, où les ombres indécises de la nuit se
fondent pour ouvrir la porte à la folie, où
l’élégance apparente très
vite peut s’effacer et laisser la place à la
frénésie. Minuit, l’heure
idéale pour ceux qui, comme Simone Ringer, Raoul Chichin et
leurs camarades Joseph Delmas, Klem Aubert et Tanguy Truhé,
ont envie d’électriser leurs nuits blanches.
Minuit, fruit d’une jeunesse
décomplexée, qui a su s’affranchir de
sa filiation sans la renier, pour se lancer à
l’assaut d’un rock mâtiné de
pop et de punk, musique viscérale qui se vit au premier
degré, pousse aux déhanchements et aux vibrations
électriques. (Source
: www.festival-lesdeferlantes.com)
Vintage Trouble
: Il flotte parfois dans l’air un petit vent
différent, une onde qui vient d’un autre temps et
nous enveloppe délicatement. Imaginez ainsi être
d’un coup d’un seul, projetés
directement dans un autre siècle, là
où la soul, le rhythm’n’blues et le rock
se mariaient sans façon et donnaient ses lettres de noblesse
à la musique nord américaine, une
époque où les titres faisaient tourner les
têtes et les corps. Ce voyage dans le temps, cette
plongée dans les sonorités old school, les
californiens de Vintage Trouble s’en sont fait une
spécialité. Emmené par Ty Taylor,
frontman charismatique et explosif, nourri par le gospel et les
géants du genre tels que James Brown ou Otis Redding, le
quatuor s’est taillé en peu de temps une
réputation plus qu’envieuse. (Source :
www.festival-lesdeferlantes.com)
Synapson : A
deux on se sent souvent mieux que seul !... Surtout lorsqu’il
s’agit de défricher de nouveaux terrains
d’expression, se positionner en fer de lance de nouvelles
tendances, de nouvelles façons de voir et de ressentir la
musique, surtout lorsqu’il s’agit de concevoir une
collection haute couture de beats accessibles et dansants. Et
à ce petit jeu-là, les deux têtes
pensantes de Synapson n’ont pas encore trouvé leur
maître. Il faut dire que Paul et Alexandre n’ont
pas leur pareil pour trousser des titres qui surfent sur une vague
électro discrète, loin des
déversements sonores de l’EDM, des morceaux
à la convergence du hip-hop, world, funk, jazz, disco et,
bien évidemment, de la musique électronique, qui
se connectent en nous dès la première
écoute et nous euphorisent. (Source :
www.festival-lesdeferlantes.com)
|
|
|
|