Lorenza, auteur compositeur interprète, l’une des
très rares artistes Française à
chanter avec les indiens Navajo dans des
cérémonies Navajo, a été
initiée à la culture Navajo depuis de
très nombreuses années. Elle a su
parfaitement créer des liens artistiques et des
événements entre la pensée occidentale
et Hozho.
Roland Tchakounté est né au Cameroun et
a su de son côté créer une parfaite
synthèse entre ses racines africaines, ses influences blues
et la singularité d’interpréter son
répertoire en « Bamiléké
», son dialecte maternel. Il qualifie sa musique de
« mélodie sauvage » servant à
aborder des sentiments souvent tristes ou joyeux, mais aussi
à exprimer l’état d’abandon
dans lequel est plongé le continent africain.
Lorenza mêle harmonieusement les racines indiennes du blues
et constitue la passerelle entre les cultures amérindiennes
et africaines. Roland Tchakounté, utopique
revendiqué, a le désir de rassembler
l’espèce humaine au sein d’une seule et
même grande famille sans distinction de race ni de couleur. (Source : Cahors Blues Festival)