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PETE ROSS & THE SAPPHIRE pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
jeudi, 21 mai 2015
 

The boundless expanse
(312 Music – 2015)  
Durée 39’53 – 8 Titres

https://www.facebook.com/peterossandthesapphire
 

Un album enregistré en 2013 sur lequel ils se partageaient pour la première fois le chant avait fini de faire connaitre le tandem australo-néo-zélandais dans l’hémisphère Nord, et pourtant c’est à 2009 que remontait la première collaboration de Pete Ross et Susy Sapphire, avec à la clef trois efforts communs et un enregistrement réalisé pour le label français Beast Records. Particulièrement bien accueillis dans l’hexagone, c’est à la scène que le duo confirmera durant toutes ces années et c’est aujourd’hui un nouvel ouvrage qu’il nous présente, « The Boundless Expanse », un recueil d’une quarantaine de minutes sur lequel les influences nous ramènent vers la fin des sixties et le début des seventies. A la croisée des chemins entre Jefferson Airplane et Jethro Tull, Pete Ross & The Sapphire nous délivre une création progressive absolument pas dénuée d’intérêt, un de ces ouvrages qui laissent forcément l’auditeur scotché à la platine dès la première écoute. Alessandro Deidda à la batterie pour accompagner le mouvement et quelques invités transalpins aux flûtes et autres Rhodes pour mieux rappeler que l’effort a été enregistré en Italie et nous voilà confrontés à une création à la fois mouvante et ambitieuse, un florilège de huit titres dans lequel il est question de la condition humaine, de ses batailles et de la solitude qu’elles engendrent … A la fois introspectif et instrumental, « The Boundless Expanse » nous transporte dans diverses ambiances qui se complètent au fur et à mesure que défilent les « Have You Seen The Incubus ? », « Existing In A Bubble », « Postcard To Mary » et autres « Gossamer » pour en arriver à un ouvrage aux cachets conceptuels que l’on arrive paradoxalement à attraper en cours de route quand l’occasion se présente … Quelques arrangements qui rappellent plus ou moins ouvertement Electric Light Orchestra finissent d’enfoncer le clou et au bout de la route, c’est avec une certaine difficulté que l’on quitte le combo, en se promettant d’y retourner dès que l’occasion se présentera !