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7YEARSBADLUCK pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
mercredi, 24 décembre 2014
 

Bridges
(Monster Zero Records – 2014)  
Durée 42’26 – 16 Titres

https://www.facebook.com/7yearsbadluck
http://www.7yearsbadluck.net             

Avec trois centaines de concerts dans les jambes, ce trio autrichien qui a eu l’occasion de montrer de quoi il était capable en partageant les scènes avec des groupes comme NOFX, Groovie Ghoulies ou encore The Apers a réussi à se forger une fanbase bien plus loin que dans la région d’Innsbruck et de Salzburg et c’est en rejoignant la team Monster Zero Records que 7yearsbadluck franchit une nouvelle étape qui le conduira à terme à proposer son pop-punk dans de nouveaux endroits et auprès de nouvelles ouailles. Si leur nom peut prêter à penser qu’ils ont cassé un miroir, Andy à la basse, Giorgio à la guitare et Tombo à la batterie semblent avoir relativement bien conjuré le sort et c’est un troisième album à la production particulièrement soignée qu’ils nous dévoilent cette année avec « Bridges », un concentré de pas moins de seize titres dont certains ne passent pas le cap des deux minutes pour un résultat à la fois dense et intense. Installé dans un créneau qui n’est pas sans faire penser à Alkaline Trio ou à Jawbreaker, 7yearsbadluck nous envoie sans aucune arrière-pensée un florilège de pépites bien musclées, de pop songs dopées aux amphétamines et de riffs taillés à la tronçonneuse pour finalement mettre tout le monde d’accord avec des brûlots dans le genre de « We’re Not Getting Any », « Beggars And Kings », « I’m Not Gonna Sleep Tonight », « I Don’t Like Cats » ou encore « Out Of Focus » qui bénéficient non seulement de l’impressionnant savoir-faire du trio mais aussi d’un son bien rentre-dedans à mettre au crédit de Marco Perdacher que l’on a précédemment croisé aux manettes avec entre autres Dee Cracks ou encore Grave Digger. Avec un nouvel effort fait sur mesure pour répondre aux attentes des amateurs de pop-punk, 7yearsbadluck a en main les armes qui devraient conduire le groupe vers un succès européen d’envergure. C’est tout le mal qu’on leur souhaite !