Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

MIKE LEPOND’S SILENT ASSASSINS pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
jeudi, 02 octobre 2014
 

Mike LePond’s Silent Assassins
(UDR Music – 2014)  
Durée 57’10 – 9 Titres

https://www.facebook.com/mikelepondssilentassassins/

On le connait comme bassiste du groupe de power prog américain Symphony X mais Mike LePond s’est également offert cette année une parenthèse en solo avec ce tout nouveau projet pour lequel il s’est entouré de quelques amis fidèles et dans lequel il a cherché à emmener son public vers une autre musique, celle qui lui a fait aimer le rock en général et le metal en particulier … Inutile donc de s’attendre à une quelconque variation autour de l’œuvre de Symphony X avec Mike LePond’s Silent Assassin, quand bien même le projet compte également en son sein le coéquipier habituel Michael Romeo aux guitares, claviers et programmations, ce que le bassiste et maître de cérémonie a choisi pour cette histoire, c’est un retour aux racines avec une palette entière de heavy à l’ancienne, une collection d’hymnes dans lesquels Alan Tecchio au chant et Metal Mike aux guitares s’efforcent de nous emmener du côté de formations comme Iron Maiden, Kiss, Black Sabbath, Judas Priest, Accept, Helloween et autres Metallica … En neuf titres, LePond et consorts s’attachent donc à tuer le silence et à faire un maximum de bruit, dans le bon sens du terme, en mélangeant des intros acoustiques et des déluges de riffs puissants à souhait mais aussi des déferlantes rythmiques dans lesquelles la basse plaide plus souvent qu’à son tour en faveur d’une mélodie ronde et puissante, le tout dans l’intérêt de l’art bien évidemment, mais aussi dans celui du public. Rayon hymnes à pogoter voire même à reprendre en chœur lors des concerts, on relèvera forcément des brûlots comme « Red Death », « The Quest », « Masada » ou encore « The Progeny » qui ne manquent ni de force, ni de finesse, les deux s’équilibrant très ingénieusement pour tirer vers le haut une première œuvre qui ne manquera pas de convaincre les nostalgiques d’une belle et grande époque qui a inspiré et donc contribué à la grandeur de nombre de formations actuelles !