Accueil du portail Zicazic.com


Zicazic on Twitter. Zicazic on Facebook.

Flux RSS ZICAZINE

Qu'est-ce que c'est ?




Accueil

> MENU
 Accueil
 ----------------
 Chroniques CD's
 Concerts
 Interviews
 Dossiers
 ----------------

BARBERSHOP pdf print E-mail
Ecrit par Fred Delforge  
dimanche, 17 mars 2013
 

Gregarious instinct
(Autoproduction – 2012) 
Durée 16’52 – 5 Titres

http://www.facebook.com/barbershoptheband
http://www.soundcloud.com/barbershoptheband

Ils se sont fait connaître au sein de Kerplunk, un groupe qui leur avait permis dès le milieu des années 90 de partager les scènes de formations comme S.O.A.D, Living End ou encore les Young Gods, les revoilà aujourd’hui avec leur tout nouveau projet, Barbershop, avec lequel les Bisontins s’efforcent autant que faire se peut de mettre en valeur leur profonde passion pour tout ce qui relève du rock 70’s, du blues rock et du stoner. Rodées à la scène où elles ont été jouées lors des récents concerts donnés avec 7 Weeks ou Royal Republic, les nouvelles compositions du combo franc-comtois ne manquent ni de grain, ni de potentiel, avec non seulement une très forte dose d’envie et d’énergie mais aussi une part non négligeable de talent qui pousse les guitares à livrer une multitude de détails tandis que les rythmiques, solides et bien en place, transportent les riffs sur une autoroute où les trois voies sont totalement libres de tout passage et entièrement dévolues à des compositions particulièrement bien fagotées. On en passe ainsi avec un plaisir non feint par des craqueries comme « Rushing Into Things », « Monster Inside » ou « Feeling Alone » avant de repartir sans nostalgie mais avec un cachet bien bluesy vers un « Good Old Time » et finalement vers un « Trap On The Way » qui referme l’ouvrage sur une note plus intimiste, plus tempérée. Bien décidés à avancer de concert et qui plus est dans la même direction, les Barbershop mettent parfaitement en avant leur « Gregarious Instinct » et l’assument pleinement, espérant qu’à l’arrivée, le reste de la meute et en particulier le public se mette à en faire de même et à suivre le mouvement. C’est tout le mal que l’on peut leur souhaiter !