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LES BALLETS DE TAHITI ORA au CASINO DE PARIS (75) pdf print E-mail
Ecrit par Olivier Urbanet  
jeudi, 14 février 2013
 

LES BALLETS DE TAHITI ORA
« LA LEGENDE DE MARUKOA »
LE CASINO DE PARIS – PARIS (75)
Les 18 et 20 janvier 2013 

http://www.casinodeparis.fr/ 
http://www.tahitiora.com/index/  
http://www.mmp-prod.fr/index.php 
http://www.tahiti-infos.com/agenda/Danse-traditionnelle-La-legende-de-Marukoa-de-Tahiti-Ora_ae169823.html 

Merci pour ces soirées à Stéphane Merlin et MMP Production

L’année 2013 commence pour moi sous très bonne étoile car depuis longtemps je rêve de voir un spectacle polynésien (à défaut d’y aller) et c’est par hasard que je remarque justement qu’un groupe fait une tournée en métropole. La première à Enghien-les-Bains, puis trois dates sur Paris avant la grande tournée française. J’ai eu l’honneur de suivre le spectacle sur deux jours au Casino de Paris. La Légende de Marukoa est un spectacle de danse traditionnelle de Tahiti Ora, jeune troupe fondée en 2008 et dirigée par Tumata Robinson. Elle marque une nouvelle étape car plus qu’une nouvelle troupe de danse, elle incarne une vraie philosophie de vie. « Ora » en Tahitien signifie « Vie », une vie empreinte de beauté, de douceur, de couleur. 
                                                   
Le groupe est constitué d’une soixantaine d’artistes permanents (danseuses, danseurs, musiciens, chanteurs), qui font vibrer le public polynésien aussi bien qu’étranger au travers des tournées locales et internationales. Un spectacle haut en couleurs avec la gagnante du Heiva 2011, Moena Maiotui, qui sera cette année la ‘‘meneuse de revue’’. Un vrai moment magique en cette période hivernale.

Le spectacle raconte qu’il y à très longtemps, sur une île du pacifique, vivait la tribu mystérieuse de Marukoa. Une île pleine de beaux guerriers puissants et de sublimes jeunes femmes à la peau couleur de miel. Te-Mato, le roi de l’île voisine qui devenait aveugle, voulait capturer la belle Rumia (Moena Maiotui) pour l’offrir en sacrifice aux dieux afin de recouvrer la vue… Prochain objectif, le festival Heiva !

Olivier Urbanet – février 2013